La philosophie de CAMINO – qui signifie chemin en espagnol – est de participer aux changements qui s’opèrent dans la mode d’aujourd’hui afin de créer une industrie plus juste, plus saine et plus transparente demain.

Ce nom d’origine celtique reflète, d’une part, nos racines galiciennes et bretonnes et, d’autre part, notre cheminement personnel, celui qui nous a amenés à la création de ce projet.

Nous sommes persuadés que l’éthique, la transparence et la durabilité dans la mode sont une nécessité et qu’un autre chemin est possible.

Chez CAMINO, vous découvrirez une mode éthique à la fois abordable et tendance. Notre objectif est de vous proposer des articles de qualité, bons pour vous et pour la planète, et de créer un impact positif dans la société.

Les marques avec lesquelles nous collaborons partagent nos valeurs et nos engagements. Nous souhaitons leur donner la visibilité qu’elles méritent et vous faire découvrir leurs créations. 

Enfin, nous croyons à un monde meilleur, à l’entraide et au respect des un.e.s et des autres pour construire ensemble une société plus consciente et résiliente.

Derrière l’image glamour de la mode se cache une industrie aux pratiques nocives que les grandes enseignes ont longtemps tenté de dissimuler.

Que vous soyez amateurs de mode ou non, les méfaits causés par ce secteur touchent tout le monde. Celui-ci est en effet étroitement lié à de nombreux autres domaines : de l'agriculture à la fabrication, de la logistique au transport, de la communication jusque dans nos armoires.

D’une part, l’industrie textile est extrêmement polluante. Elle est responsable de 10 % des émissions mondiales de CO2, tandis que la culture conventionnelle du coton utilise 25 % des pesticides au niveau mondial. Le polyester, la matière la plus utilisée aujourd’hui, est une fibre synthétique dérivée du pétrole qui consomme énormément d'énergie et libère des micro-plastiques lors des lavages.

D’autre part, les vêtements que nous portons ont également un impact sur les populations à travers le monde. Pour beaucoup, cette industrie constitue une forme d’esclavage moderne : violation des droits de l’homme, exploitation des enfants, harcèlement sexuel (80 % des ouvrières sont des femmes), employés obligés de travailler dans des conditions dangereuses et abusives pour un salaire qui les condamne à vivre toujours dans la pauvreté.

Ce modèle, basé sur la recherche constante d’augmentation des profits, conduit à une surconsommation. Ces pratiques sont donc directement liées à l’urgence climatique et aux inégalités qui sévissent dans nos sociétés à travers le monde. Le « prêt-à-porter, prêt-à-jeter » avec ses conséquences sociales, sanitaires et environnementales désastreuses, n’est plus viable. Bas prix = coût élevé

Le chemin vers le changement commence par une prise de conscience – pour faire partie de la solution et non du problème.